J’entends les accords d’un instrument à corde. Ça joue de la capoeira sur le ponton. C’est magique. À peine quelques notes répétitives et deux silhouettes noires qui dansent.
On fait le retour par la côte en sirotant des granités achetés au bord de la route. Petite pause d’urgence pour des toilettes, puis l’Anse Noire est à nous.
